« La ville de Goma et la cité de Sake sont hors de toutes menaces des rebelles du M23 et leurs alliés. Rubaya est sous contrôle des FARDC ».
Cette assurance est du porte-parole militaire de Sokola 2, le lieutenant-colonel Guillaume Ndjike Kaiko ce mardi 28 février aux médias.
Le Premier Ministre, Jean-Michel Sama Lukonde, a échangé, ce mardi 28 février à la Primature, avec les membres du comité exécutif national de l’Eglise du Christ au Congo (ECC).
Les questions liées à sécurité, au développement de la République et à l’éducation, ont été au coeur de cet entretien du Chef du Gouvernement avec la délégation des membres du comité exécutif national de l’ECC conduite par Monseigneur Gabriel Unda Yemba.Au sortir de l’audience, le chef de la délégation de l’ECC a confié à la presse ce qui suit :« il est d’habitude, chaque fois après une assemblée du comité exécutif, nous devons faire le point à l’autorité pour lui faire savoir comment va l’église. Comment vont surtout les institutions du pays. Nous avons exposé le problème de la sécurité du pays tout en entier, particulièrement la partie Est qui est en train d’être torturée par les ennemis de la République. Nous avons parlé de l’éducation, le développement de notre pays », a dit brièvement Monseigneur Gabriel Unda Yemba modérateur du comité exécutif national de l’ ECC.
À en croire Gabriel Unda, le Chef du Gouvernement s’est montré très réceptif vis-à-vis de ses interlocuteurs.« Le Premier Ministre a été attentif. Nous sommes très heureux parce que tous les points que nous avons énumérés, il les a pris avec beaucoup d’attention. Il nous a même rappelé que le Congo est un grand pays au cœur de l’Afrique. Et nous sommes convaincus que s’il y a la paix, le pays va se développer », a-t-il ajouté.
Christophe Lutundula, ministre des Affaires étrangères de la RD Congo, estime que les propos du président Macron « ne suffisent pas du tout ». Évoquant la présence en RDC des rebelles du M23 soutenus par Kigali, le président français a affirmé que « l’unité, la souveraineté et l’intégrité territoriale de la RDC ne se discutent pas ». Pour le ministre, qui réagit sur France 24 depuis Genève, Emmanuel Macron, attendu cette semaine à Kinshasa, ne fait qu’énoncer une évidence et peut « faire mieux ».
Le chef de la diplomatie congolaise, Christophe Lutundula a critiqué sur France 24 les paroles du président français Emmanuel Macron en amont de sa visite à Kinshasa, les 3 et 4 mars. Des propos maintes fois proférés et qui relèvent du « classique », a estimé le haut-diplomate, d’autant que ces rappels ne sont pas, selon lui, suivis de résultats sur terrain.
Tandis que Washington a plusieurs fois demandé ouvertement au Rwanda de retirer ses troupes de République démocratique du Congo et de cesser de soutenir le M23, l’attitude française et européenne « surprend, et nous pose problème », explique Christophe Lutundula, d’autant que « la présence d’éléments de la force défense du Rwanda sur le territoire congolais » est amplement prouvée selon lui, et notamment par des rapports dirigés par les Nations unies.
Membre du Conseil de sécurité de l’ONU, actrice « majeure de la vie internationale », la France pourrait pourtant « faire mieux » que de réitérer son soutien aux processus de paix de Nairobi ou de Luanda, regrette le ministre.
« Nous voulons la paix et nous n’avons rien contre le peuple rwandais », assure Christophe Lutundula. Mais « si la rupture des relations diplomatique avec Kigali est nécessaire, nous n’hésiterons pas », prévient-il. « Nous sommes décidés quoiqu’il en coûte à mettre fin définitivement aux agressions du Rwanda », a renchéri celui qui occupe également les fonctions de vice-Premier ministre.
Le chef de la diplomatie congolaise a catégoriquement balayé l’hypothèse d’un report des élections, prévues le 20 décembre 2023, voyant dans cette échéance « une nécessité absolue » liée au « respect de la Constitution ».
La veille, le président Félix Tshisekedi depuis le Bureau des droits de l’homme de l’ONU, s’était inquiété de ce que le conflit entre les forces armées et les rebelles dans l’est de la République démocratique du Congo puisse mettre en péril le calendrier électoral.
#France24
l’armée engage ses hélicoptère de combat pour repousser les rebelles du M23 qui tentent de s’emparer de la cité stratégique de Sake 27 km à l’ouest de la ville de Goma. Suite aux détonations d’armes lourdes et légères, la population de #Sake se dirige vers Goma.
Le Premier ministre de la République démocratique du Congo, Sama Lukonde, a appelé les pays associés au Congo dans la Communauté économique de l’Afrique centrale (CEEAC) à faire quelque chose contre le Rwanda l’accusant de faire la guerre à son pays.
Lukonde l’a répété jeudi de cette semaine) en ouvrant officiellement les travaux de la réunion des ministres des pays membres de la CEEAC qui s’est tenue à Kinshasa.
C’est une rencontre qui sera suivie par les Chefs d’Etat et de Gouvernement de l’organisation qui se tient à Kinshasa ce samedi 25 février 2023.
Le Premier ministre de la RDC, lors de l’ouverture de la réunion du Conseil des ministres, a condamné ce que le Congo a longtemps considéré comme une guerre conclue avec le Rwanda, affirmant qu’il se retranchait derrière le mouvement M23.
Ce groupe rebelles occupe diverses parties de la province du Nord-Kivu depuis un certain temps, et vendredi de cette semaine, il a complètement arraché la zone de Mushaki dans le territoire de Masisi aux mains de l’armée congolaise (FARDC).
Lukonde a rappelé aux ministres de la CEEAC que le quatrième article de l’accord de la CEEAC stipule que ses membres doivent promouvoir la coopération dans divers domaines, notamment « politique, sécuritaire et économique ».
Il a poursuivi: « Cela devrait être montré ici, car il ne fait aucun doute que les forces que nous avons rejointes au gouvernement de Kigali en ce moment sont cachées dans le groupe de rebelles M23, qui a causé des milliers ou des millions de morts, selon les rapports, le pillage de propriétés naturelles et l’état douteux de la population.
Lukonde a déclaré que la CEEAC en tant qu’organisation devrait éviter l’hypocrisie dans la diplomatie, avant de souligner que l’organisation ne devrait pas « continuer à regarder tant qu’un de ses membres est attaqué par un autre membre ».
Il a ajouté qu’il y a un manque de sécurité dans cette communauté, en particulier dans son pays, qui freine son développement.
La communauté CEEAC est composée de 11 pays dont l’Angola, le Burundi, le Cameroun, la Centrafrique, le Congo-Brazzaville, la République Démocratique du Congo, le Gabon, la Guinée Équatoriale, le Tchad, Sao Tome ,Principe et le Rwanda
Rédigé par Jason kabera
Plusieurs localités de la partie Sud-Est du territoire de Masisi 9Nord-Kivu) sont vidées, samedi 25 février, de leurs habitants après le M23 a occupé la cité de Mushaki.
Il s’agit entre autres, des villages Matanda, Bihambwe vers l’ouest de Mushaki pendant que Rubaya, est aussi menacée par le M23 qui serait déjà à moins de 5 KM de cette cité minière sur les collines surplombant la cité de Bihambwe.
Selon des sources locales, l’avancée de ces rebelles vers d’autres agglomérations du territoire de Maisis se fait presque sans combats.
Les mêmes sources rapportent que ces rebelles étaient déjà signalés, depuis jeudi soir, autour de l’agglomération de Karuba, dans la chefferie des Bahunde.
Ce qui a occasionné le déplacement des habitants de cette agglomération aussi vers Shasha et Goma.
Pour les sources civiles, l’occupation de Mushaki donne aux rebelles plus d’opportunité d’avancer vers le chef-lieu du territoire de Masisi ou vers Shasha, sur la nationale numéro 2.
Des sources militaires assurent tout de même que l’armée continue à répondre à cette attaque.
Après l’occupation de Mushaki, les combats se sont poursuivis jusque tard dans la soirée à l’issue desquels l’armée congolaise a eu une avancée vers Kabati, sur l’axe Sake-Kitshanga.
Elle a aussi maintenu sa position de Malehe au Nord de Saké sur l’axe Mushaki-Masisi centre.
Radio Okapi
Le prix de plusieurs produits de première nécessité a galopé à Goma et Masisi-centre, depuis que les rebelles du M23 ont pris le contrôle de la cité de Mushaki (Nord-Kivu).
Ces rebelles ont ainsi coupé le trafic routier entre Saké et Masisi-centre où un verre du sel est passé de 500 à 1000 francs congolais.
Dans cette cité, affirment des sources, un verre du sucre se vend à 1000 francs congolais au lieu de 700 francs comme d’habitude.
Cette hausse de prix se constate également à Goma, chef-lieu du Nord-Kivu où un KG de haricot vert qui se vendait à 3000 fc revient actuellement à 4500 voire 5000 francs congolais.
Il en est de même pour celui de pomme de terre qui coûtait 1200 francs congolais et se négocie à 1700 francs congolais.
La ville de Goma est prise en étau sur le plan économique, coupée de ces poumons, alerte un député provincial élu de Masisi, Alexis Bahunga.
Ce dernier alerte le gouvernement sur la souffrance qu’endure actuellement la population du Nord-Kivu.
Pour Alexis Bahunga, alors que la ville de Goma est totalement asphyxiée économiquement, il est plus qu’urgent maintenant, que le gouvernement s’investisse pour la réouverture des tronçons routiers Bembo-Goma et Mwesso-Goma voire Masisi-Goma.
« Le droit international humanitaire veut que, la population, pendant la guerre, soit libre et obtienne certains produits qu’elle mange. Je sollicite du gouvernement, de tout faire urgemment, de solliciter aussi à son niveau auprès des partenaires, comment créer un couloir humanitaire, soit à réouvrir urgemment ces tronçons-là. Cela permettrait que, notre population circule librement et que cette population ait accès en même temps aux produits vivriers et aux produits manufacturés », a-t-il souligné.
L’axe Minova-Goma reste la seule voie d’approvisionnement en produits vivriers de cette ville qui connait un exode rural.
Cependant cet approvisionnement ne peut contenir la ville de Goma qui compte environ deux millions d’habitants, sans compter la présence des milliers de déplacés.
Radio Okapi
Les forces loyalistes de la République démocratique du Congo (FARDC) ont confirmé que le groupe rival M23 a pris le contrôle de la zone de Mushaki qui relie la cité de Sake et Masisi-Walikale. C’est après les violents combats qui ont eu lieu dans les premières heures de ce vendredi.
Cette zone de Mushaki est connue pour être plus riche en élevage et en agriculture que les autres zones du territoire de Masisi. Mushaki est situé dans le groupement Mufunyi Matanda, chefferie de Bahunde dans le territoire de Masisi. Il se trouve à 40 kilomètres de la ville de Goma.
Les terroristes M23 ont pris la zone vers 5 heures du matin dans de violents combats qui a duré deux jours.
Signalons que les FARDC faisaient face aux attaques du M23 depuis près de deux semaines mais ils tentent reprendre les zones occupée par ces rebelles bien qu’aujourd’hui ils n’aient pas pu les arrêter.
La prise de Mushaki a été confirmée par le lieutenant-colonel Guillaume Ndjike Kaiko, porte-parole de l’armée congolaise dans la province du Nord-Kivu, dans un message écrit qu’il a remis aux médias de la province du Nord-Kivu vers cet après-midi.
Il a appelé le peuple à continuer de faire confiance aux forces nationales dans cette guerre contre le M23. Il a ajouté que les FARDC ne s’assoient pas mais ont l’intention de réprimer tous les groupes armés illégaux.
La prise de Mushaki a perturbé de nombreuses personnes qui effectuent déjà leurs activités quotidiennes dans le territoire de Masisi et habitants de Ngungu, rubaya et ses environs optent pour le deplacement
Désormais, la route de Goma à Masisi n’est plus passable ainsi que la route de Mushaki à Rubaya, une région connue pour avoir plus de pierres précieuses que partout ailleurs dans la province du Nord-Kivu. Celà a pousse les habitants de la ville de Goma à s’inquiéter
Rédigé par : Jason kabera
le Gouverneur de la Province du Haut Katanga vient de recevoir les comédiens Gohou, Clémentine et Herman Amisi dans son cabinet à Lubumbashi.
« Merci aux acteurs ivoiriens Michel Gohou et Clémentine pour leur visite dans notre Province.
Merci également au nôtre Herman Amisi qui les a invités pour son spectacle de demain à Lubumbashi.
Nous avons échangé sur des projets destinés à promouvoir la culture et les jeunes talents africains.
Plein succès pour leurs productions et que vive la Culture ! »
Shalom Tabernacle du Rev. Pasteur NSABIMANA et Malachie 4 Production organise en collaboration avec les églises du Message du temps de la Fin prêche par Le Prophète W.m.Branham Une grande campagne D’évangélisation dans la ville de Bujumbura
Plusieurs Artistes chantres du Message seront présents :
• Miracle Béni
• Tintini Sidi
• Neville Kanono
• Et tous les autres
Dans cette campagne D’évangélisation il y aura des séries de prières pour les malades.
Aussi signalons que Plusieurs Serviteur de Dieu Seront présents à la Cette Campagne.
Le DG de Malachie 4 Viens de nous confirmer l’arrivée des nos Frères dans la ville de Goma pour aller prendre part à cette campagne au Burundi «
MALACHIE 4 PRODUCTION
C’est avec joie et grand plaisir que nous souhaitons la bienvenue aux serviteurs du Seigneur :
• Miracle Béni
• Tintini Sidi
• Neville Kanono
• Et tous les autres
Dans la partie Est de la République Démocratique du Congo !
Nous serons heureux de partager des moments merveilleux avec ces hommes de Dieu !
Nous prions ainsi que le Seigneur bénisse votre séjour dans cette contrée !!
Tenda Abel Du ciel, coordonnateur Malachie 4 Production«
@2023 – Tous droits réservés. Conçu et développé par MYHOSTING RD CONGO