En date du 27 avril, le Procureur Général de la Cour de cassation avait instruit au service de la Direction Générale de la Migration (DGM) de ne pas laisser Nicolas kazadi sortir du territoire national afin qu’il ne se soustraie pas aux poursuites judiciaires engagées contre lui. Cette consigne était fondée sur la crainte qu’il ne fuie le pays.
Pourquoi avoir alors interdit sa sortie du territoire, pour aujourd’hui autoriser Nicolas kazadi à sortir sous prétexte qu’il est malade ? Cette décision soulève des questions quant à l’intégrité et à l’indépendance du système judiciaire.