Sécurité

Les activités socio-économiques restent paralysées depuis 10h de ce samedi 7 décembre 2024 en ville de Butembo au Nord-Kivu.

A la base les conducteurs de voitures trafiquant l’axe Butembo-Goma s’insurgent contre l’arrestation de leurs compagnons de route arrêtés avec leurs passagers vendredi 6 décembre au sud de Lubero, zone ou se déroule les affrontements depuis lundi entre les rebelles du M23 et la coalition FARDC-WAZALENDO.

Selon les sources contactées par les reporter de zion-news.info, ces chauffeurs arrêtés ont été transféré à beni sous escorte de l’armée loyaliste pour audition.

Arrivant à nziapanda partie sud de la ville, les chauffeurs de voiture appuyés par les conducteurs de moto taxi ont commencé à placer des barricades chose qui a créé une tension entre les agents de l’ordre et les manifestants. Les militaires ont crépité plusieurs coups de balles Voulant rétablir l’ordre public.

Une fille à été touché sur sa poitrine et elle est morte sur les camps au coté de plusieurs autres Civilis blessé qui poursuivent les soins médicaux.

Les corps de la victime de balle tirée par les militaires FARDC à été conduit par les manifestants à direction centre ville avant de le conduire à la morgue de l’hôpital général de référence de matanda.

Cette situation a été à la base de paralysie des activités socioéconomiques au centre ville toute l’avant midi de ce vendredi. Sur le boulevard joseph Kabila, les boutiques, magasins et autres maisons de commerces ont jugé mieux l’interrompre leurs activités.

La même situation à touché les entreprises œuvrant le long du boulevard julien paluku ex rue Kinshasa et la rue d’ambiance ici les marchants ont fait interruption de leurs activités génératrice de revenu de peur d’être agressé par les manifestants.

Les activités scolaires ont également tourné au ralenti dans certaines écoles de la partie sud de la ville, les enseignants au renvoyer les élèves à la maison craignant pour leurs sécurité. C’est vers 15h que les activités ont repris timidement au centre ville de Butembo après une paralysie momentanée.

Maua Grace à Butembo

Devant près d’un million de personnes réunies à l’aérodrome désaffecté de la ville, le Chef de l’État a appelé l’Église à plus d’impartialité.

«  L’Église est invitée à jouer sa partition ; elle doit être réellement au milieu du village », a-t-il déclaré. S’adressant par la même occasion à la jeunesse, le Président Tshisekedi a conseillé: « n’écoutez pas les chants des sirènes qui visent à vous maintenir dans l’asservissement ».

Il a mis en garde contre ceux qui veulent manipuler la population. Pour le célébrant du jour, Mgr Utembi qui a fait un rapprochement entre ce qui s’est passé en 1964 et la situation actuelle marquée par des rébellions, « le 60ème anniversaire du martyre de la Bienheureuse Anuarite Nengapeta doit concrètement nous mobiliser dans notre lutte pour une paix durable au sein de notre sous-région ».

Selon des médias de Bukavu, le porte-parole du secteur opérationnel Sokola 2 sud-sud évoque la mort de cinq combattants et la blessure de trois autres suite aux incidents survenus vendredi dernier.

Des membres de la communauté confirment l’existence de cinq décès (deux militaires FARDC et trois miliciens), accompagnés de nombreuses blessures signalées de part et d’autre.

Des sources locales ne donnent pas pour l’instant de bilan des affrontements, mais elles indiquent que la population fuit Kalindi dans le territoire de Mwenga vers Minembwe (territoire voisin de Fizi).

L’administrateur du territoire de Fizi, Samy Kalonji, témoigne de l’arrivée massive des personnes qui fuient les zones des combats :

« Ces affrontements se sont déroulés précisément dans les villages de Kalingi, Kitavi et Ilundu. Un afflux de la population fuyant ces affrontements est signalé au village Minembwe. Parmi (ces déplacés se trouves des) femmes, des enfants et des vieux. Le bilan, jusque-là, reste inconnu. Aujourd’hui lundi 2 décembre, il est prévu une grande réunion de pacification par le commandant de la 21e brigade d’intervention ».

Le chef honoraire du secteur de Lulenge rapporte que trois jeunes motocyclistes sont tombés dans une embuscade de la coalition rebelle. Deux ont été tués et un autre grièvement blessé.

Selon des médias de Bukavu, le porte-parole du secteur opérationnel Sokola 2 sud-sud évoque la mort de cinq combattants et la blessure de trois autres suite aux incidents survenus vendredi dernier.

Des membres de la communauté confirment l’existence de cinq décès (deux militaires FARDC et trois miliciens), accompagnés de nombreuses blessures signalées de part et d’autre.

Selon le responsable du service de renseignement extérieur allemand, les actes de sabotage commis par la Russie contre des objectifs occidentals pourraient finalement pousser l’OTAN à envisager d’appliquer l’article 5 de la clause de défense mutuelle.

Lors d’une réunion organisée par le groupe de réflexion DGAP à Berlin mercredi, Bruno Kahl, responsable du Bundesnachrichtendienst, a exprimé son anticipation que Moscou pourrait intensifier davantage son conflit hybride, ce qui pourrait potentiellement provoquer la mise en œuvre de la clause de l’OTAN.

Alors que Kinshasa et Kigali se sont accordés à Luanda mardi 26 novembre sur le plan de neutralisation « des rebelles Rwandais FDLR » , le Rwanda a une nouvelle raison de justifier la présence de ses militaires en RDC.

 » Constant Mutamba, portait un masque pour étouffer l’odeur de pourriture dans la prison de Muzenze à Goma, à deux pas de la frontière rwandaise, alors qu’il débitait, en kiswahili, des discours de haine et incitait les prisonniers à traquer, dénoncer et tuer les  » Banyarwanda y compris le président du Rwanda », en échange de leur liberté. C’est ce à quoi le Rwanda doit faire face tous les jours.
C’est pourquoi les mesures défensives du Rwanda
restent en place »,
a déclaré mardi 26 novembre Yolande Makolo, porte-parole de l’exécutif du Rwanda.

Samedi 23 novembre lors de sa visite à la prison centrale de Munzenze en ville de Goma, le ministre congolais de la justice a appelé tous les prisonniers à la vigilence et dennoncer selon lui « les traîtres »

 » Si vous dénoncez les
traîtres, je m’engage à vous faire sortir de prison. Mais nous allons traquer et
neutraliser ceux qui ont facilité l’occupation de nos territoires », a
assuré Constant Mutamba.

Avec des preuves des photos et vidéos, les experts des nations unies ont affirmé dans un rapport remis au conseil de sécurité que le Rwanda a déployé 4000 militaires avec des armes de différents types en RDC pour appuyer les rebelles du M23.

Des analystes en sécurité ont par contre montré que le Rwanda n’a pas l’intention de retirer ses militaires sur le sol Congolais, il devrait justifier cette présence pendant plusieurs années pour gagner du temps et piller les ressources naturelles de RDC.

« Vous savez que le Rwanda a des militaires dans plusieurs pays y compris dans les nations unies. Il a signé des contrats de partenariat avec des États forts qui lui exigent des matériels militaires de la dernière génération. Comme il n’a pas beaucoup de moyen et vous savez que le matériel militaire coûte très cher, il se cherche l’argent dans les minerais en RDC », a déclaré un expert indépendant.

Un militaire de la Garde Républicaine a tué deux civils ce samedi 23 novembre 2024, au port de la ville de Goma, dans le quartier Les Volcans, en commune de Goma au Nord-Kivu.

Selon nos sources sur place, le militaire a pris position sur le mont Goma et a ouvert le feu dans toutes les directions. La cause de cet acte demeure inconnue, mais il semble que le militaire ait tiré de manière aléatoire.

Ces événements se sont déroulés dans la partie sud de la ville de Goma, un lieu fréquenté par de nombreux habitants, des témoins présents au moment des faits rapportent avoir entendu plusieurs détonations, créant un climat de panique et de confusion.

Les raisons précises qui ont poussé le militaire à tirer demeurent floues, mais l’altercation a rapidement dégénéré, provoquant l’indignation des personnes présentes.

Jules Ngeleza, Le président du conseil communal de la jeunesse de Goma, a confirmé la nouvelle indiquant que le militaire de la garde républicaine aurait un problème psychique, celui-ci précise que les victimes n’ont pas survécu malgré leur évacuation d’urgence vers un hôpital de la place, cette altercation a provoqué des scènes de protestation dans le chef de la population, qui a vite exprimé sa colère face à cet acte de violence au niveau du port public de Goma.

En réponse à la situation, des renforts de sécurité ont été envoyés sur les lieux pour tenter de maintenir l’ordre, les forces de l’ordre ont utilisé des tirs de sommation pour disperser la foule, soulignant la tension qui régnait à ce moment-là.

L’heure actuelle, aucune déclaration officielle n’a été émise par les autorités militaires, bien qu’une enquête soit attendue pour éclaircir cette affaire tragique. Cet événement s’inscrit dans un contexte de tensions sociales et sécuritaires croissantes à Goma, où la population réclame instamment des mesures pour garantir leur sécurité et éviter de tels drames à l’avenir.

La rédaction.

Le 20 novembre, le vice-Premier ministre en charge de l’Intérieur, Jacquemain Shabani, également président du Comité de suivi de la réforme de la Police (CSRP), a inauguré une rencontre axée sur la sensibilisation autour des documents relatifs à la réforme de la police en République démocratique du Congo, selon une note de son cabinet.

Cet événement, organisé par le secrétariat exécutif du CSRP en partenariat avec le commandement de la Police nationale congolaise (PNC) et soutenu par le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), constitue une plateforme d’échanges destinée à promouvoir la diffusion des normes juridiques. Ces textes, véritables outils pratiques, s’adressent principalement aux policiers, mais également aux bourgmestres, chefs de quartiers et autres responsables politico-administratifs, ciblés dans un premier temps dans la ville-province de Kinshasa.

L’objectif principal est de guider et encadrer les actions de la police en veillant au respect strict des réglementations en vigueur et des droits fondamentaux. Cette démarche vise à renforcer les liens entre la police et les citoyens qu’elle doit protéger, tout en encourageant une approche de proximité.

La Rédaction

Une voiture, trois motos au côté des maisons incendiées et deux personnes portées disparues, c’est le bilan d’une nouvelle attaque des ADF nalu contre les habitants du village Baunga tsu luna précisément à bango situé dans le groupement de Bambuba kisiki, secteur de Beni mbau territoire de Beni au nord-kivu , à l’Est de la République Démocratique du Congo.

Selon la source contactez dans la zone, l’effet remonte la nuit du dimanche au lundi 18 novembre 2024.

Ces ennemis au tout d’abord crépités plusieurs coups de balles avant de se prendre aux engins qui étaient stationner dans la région, parmi les quel , une voiture, 3 motos et plusieurs maisons incendiées renchérit la même source.

Cette triste nouvelle à été reportée et confirmée par le chef du village bango, Bienvenue Undelema boroso au reporter de iturivision.net ce lundi 18 novembre 2024.

Tout a condamnant cette enieme attaque dans la zone , ce chef de base appelle au même moment la population cultivatrice à la clairvoyance car l’ennemi circulent aux alentours de ce Village,et aux services de sécurité de pouvoir redoubler les patrouilles de combat afin de mettre la population à l’abri du danger.

<< La situation est très précaire vraiment, il ya eu une incursion des ADF nalu , ils ont réduit à Cendre une voiture en Provence de butembo pour bunia, des vélos , de motos et des maisons ont été de même calcinées . Deux personnes ont été également pris en otages. Nous appelons la population a la vigilance et aux services de sécurité de renforcer les effectifs militaires>>.

Cette attaque intervient , signalons-le, quelques mois après qu’une accalmie soit observée sur la semble du village Baunga tsu luna et plus précisément sur l’axe routier eringeti-kainama.

Maua Grace