Politique

Antoine Gabriel Kyungu wa Kumwanza, né le 24 octobre 1938 et mort le 21 août 2021 à Luanda en Angola, était une personnalité publique et un homme politique RD congolais.

Il fut le président du parti Union nationale des fédéralistes congolais UNAFEC, président de l’assemblée provinciale du Haut-Katanga depuis le 20 février 20214 et président du conseil d’administration de la Société nationale des chemins de fer du Congo (SNCC) depuis le 3 juin 2019.

En préparation de son troisième anniversaire de son décès, feu président du parti politique Union nationale des fédéralistes du Congo (UNAFEC), sa famille biologique, à travers Hervé Diakese, l’un de ses fils, avait annoncé des célébrations en son hommage.

« Cette fois-ci, explique Hervé Diakese, la famille de l’ancien président de l’UNAFEC, voudrait y apporter une marque particulière.

Il est à signaler que L’ancien candidat a la présidence de la RDC, Moise Katumbi était présent à la basilique Sainte-Marie de la Kenya au culte organisé en mémoire du feu Antoine Gabriel Kyungu wa Kumwanza. UNAFEC et d’autres partis dont ANAFEK sont également là.

Contrairement aux rumeurs sur la toile depuis ce dimanche matin, L’ancien gouverneur du Sud-Kivu Marcelin Cishambo Ruhoya n’a pas rejoint l’AFC-M23

Joint par l’ACP, il a dit être préoccupé par le deuil continue de son épouse et le traitement de sa jambe fracturée comme rescapé du crash d’avion à Kavumu, au Sud-Kivu, dans l’ Est de la République démocratique du Congo, en 2012.

« Je ne suis pas un jeune politicien, si adhésion il y aurait, je l’aurais faite par voie de déclaration », a-t-il déclaré.

Il vous souviendra que M. Marcel Cishambo Ruhoya dit affectueusement Cubaka est l’un des ex gouverneurs du Sud-Kivu.

L’Observatoire de la Liberté de la Presse en Afrique (OLPA), ONG de défense et de promotion de la liberté de la presse condamne avec la dernière énergie l’agression brutale d’Auguy Kabuende, Placide Cilewu et Hénoch Muteba respectivement journalistes à Radio Télé Débout Kasaï (RTDK), à Radio télévision de l’Eglise Evangélique des Témoins du Christ (RTEEC) et à Coulisses.net, tous basés à Mbuji-Mayi, chef-lieu de la province du Kasaï oriental, au centre de la République démocratique du Congo (RDC).

Les journalistes ont été pris à partie, le 15 août 2024, au siège de la Fédération du parti politique UDPS (Union pour la démocratie et le progrès social), parti au pouvoir secoué par des divergences profondes entre ses cadres.

Les assaillants qui se réclament être membres de l’UDPS n’ont pas digéré la présence des journalistes à une activité organisée par un groupe des cadres avec à leur tête M. Jean-Paul Mbwebwa, Gouverneur de province et fervent soutien du Secrétaire général contesté, M. Augustin Kabuya.

Plusieurs matériels (caméras, téléphones) des journalistes ont été détruits et confisqués par les assaillants.

Auguy Kabuende et Placide Cilewu s’en sont sortis avec plusieurs lésions corporelles.

Eu égard à ce qui précède, OLPA condamne un acte lâche visant des professionnels des médias en plein exercice de leur métier. Ceci constitue une violation grave de la liberté de presse garantie par la loi congolaise et les instruments juridiques internationaux relatifs aux droits de l’homme.

Par voie de conséquence, OLPA appelle les responsables de la Fédération de l’UDPS/Mbuji-Mayi à diligenter une enquête afin d’identifier les auteurs de cette agression pour qu’ils répondent de leurs actes.

Pour que la paix soit effective, permanente et durable, je me suis rendu à Kigali et à Kinshasa les 11 et 12 respectivement pour m’entretenir avec S.E. le président Paul Kagame et S.E. le président Félix Tshisekedi, à qui j’ai soumis une proposition d’accord de paix.

Au cours de la conversation avec les deux chefs d’État mentionnés, j’ai constaté une grande volonté politique de leur part de résoudre le conflit par la négociation et, conformément à cela, nous avons déjà programmé pour le 20 août prochain la réunion ministérielle de discussion et de négociation à Luanda dans les termes de l’accord de paix proposé, à signer, à la meilleure occasion, en présence des trois chefs d’État, de la RDC, du Rwanda et de l’Angola.

Donald Trump a été interrogé par Elon Musk : Les deux personnalités radicales ont discuté pendant deux heures de leurs sujets favoris. Pour créer un échange lunaire, c’est extrêmement préoccupant.

Lors d’une conversation sur X, Donald Trump et son soutien financier Elon Musk ont échangé de nombreuses théories radicales lundi, en comparant les immigrés clandestins à des « zombies » ou en évoquant un « coup d’État » contre le président américain Joe Biden. Cette conversation a été largement retardée en raison de problèmes techniques.

Le dirigeant du réseau social, qui est également responsable de Tesla et Space X, avait fait la promesse d’un moment « très amusant ». En particulier, cela a donné à Donald Trump la possibilité de renouveler ses thèmes de campagne en présence d’un interlocuteur amical, qui était déterminé à ne pas le contredire.

L’immigration et le « coup d’État »
L’ancien président républicain a une fois de plus annoncé « la plus grande déportation de l’histoire » des États-Unis, en prétendant erronément que l’arrivée massive de migrants sous l’administration Biden a entraîné une augmentation de la criminalité.

« Nous avons des gens qui affluent comme si c’était une (…) apocalypse zombie », a acquiescé Elon Musk, qui a longtemps eu une relation compliquée avec Donald Trump, mais le soutient publiquement depuis la tentative d’assassinat contre lui le mois dernier.

Le géant de la tech en a profité pour cataloguer Kamala Harris, nouvelle concurrente de Donald Trump dans la course à la Maison-Blanche, comme une candidate « d’extrême gauche ».

Donald Trump a remis en question sa légitimité à la peine pour contrer l’enthousiasme déclenché par l’entrée en lice de Kamala Harris.

Le renoncement de Joe Biden, marqué par des incertitudes quant à sa santé, a provoqué une colère profonde chez le tribun de 78 ans.

40 minutes de retard.
Plus d’un million d’utilisateurs ont écouté la conversation en direct, sur une plateforme où Donald Trump avait été interdit après l’attaque du Capitole à Washington le 6 janvier 2021.

Elle a commencé avec plus de 40 minutes de retard, en raison de problèmes techniques qualifiés par Elon Musk de cyberattaque. Le milliardaire a mentionné « une attaque DDOS massive » appelée « déni de service », qui vise à perturber les serveurs de l’entreprise afin de causer une panne.

« Cette attaque massive illustre l’opposition de beaucoup de gens à entendre simplement ce que le Président Trump a à dire », lorsque l’échange a finalement démarré.

Embarrassant, l’épisode a rappelé le fiasco déjà subi par X lors de l’entrée en campagne de l’ex-candidat républicain Ron DeSantis, diffusée sur la plateforme et plombée par des problèmes techniques.

Depuis le rachat de Twitter par Elon Musk — qui l’a renommé X et a permis à Donald Trump d’y réactiver son compte —, la plateforme est mise en cause pour son laxisme face à la désinformation. Ses détracteurs l’accusent aussi d’être devenue un porte-voix pour la droite radicale.

Comme prévue pour ce vendredi 9 août 2024, la campagne électorale pour l’élection du Bureau définitif du Sénat est reportée à une date ultérieure. C’est ce qu’indique le 1er secrétaire du Bureau Provisoire dans un communiqué publié ce vendredi 9 août 2024 dans la matinée.

Le Cadre de concertation de l’opposition politique et de la société civile en République démocratique du Congo a vivement réagi à l’interview accordée par le président Félix Tshisekedi à Top Congo FM depuis Bruxelles, où il séjourne pour des raisons médicales depuis une dizaine de jours.

Dans une déclaration signée par 27 personnalités, parmi lesquelles Lubaya Claudel André (Uda Originelle), Seth Kikuni (Piste pour l’émergence) et Ados Ndombasi (Alternative 2028), l’opposition accuse le chef de l’État de « diviser la Nation congolaise » et de « créer des tensions » pour dissimuler les incohérences de sa gouvernance.

« En se livrant avec mépris, à des attaques et invectives à l’endroit de ses adversaires politiques, il a donné la preuve de ce qu’il sait faire de mieux : diviser la Nation congolaise, créer des tensions pour chaque fois, dissimuler ses incohérences et ne pas rendre compte de sa gouvernance calamiteuse. C’est son image qu’il a abîmée davantage, pas celle du Congo dont il fait semblant d’ignorer l’immense détresse de nos concitoyens.

Il n’a pas été et n’est pas à la hauteur des dispositions de l’article 69 de la Constitution, ayant opéré le choix volontaire d’être le plus grand commun diviseur du peuple congolais », déclare le Cadre de concertation.

L’opposition dénonce également l’absence de responsabilité du président Tshisekedi, en particulier concernant ses promesses de lutter contre la corruption et de gouverner en toute transparence.

La seule responsabilité qu’il s’assume plus, c’est son prétendu engagement à lutter contre la corruption et à gouverner en toute transparence. C’est encore une de ses multiples promesses non tenues. Preuve, il a rendu hommage et apporté tout son soutien à son ancien ministre des Finances, sous le coup des soupçons pour des scandales politico-financiers à grande échelle ».

Le Cadre de concertation critique également le soutien du président à des actions de ses militants, qu’ils qualifient de « délinquance ». « Il a également assumé la responsabilité de l’anarchie et du chaos créé par les militants de son parti, qui s’attaquent aux symboles de l’état, vandalisent les lieux publics et invectivent les magistrats. Il considère cette délinquance comme de la vitalité démocratique.

Preuve s’il en est, d’une conception erronée de la démocratie et une définition partisane et indigne d’un président de la République. Il a tout axé sur le désordre et la déstructuration de notre État en violation permanente de la Constitution pour raffermir son pouvoir ».

Enfin, la déclaration de l’opposition conclut sur une note sombre concernant la situation générale du pays. « La situation générale se dégrade chaque jour. Et lui a perdu la boussole pour indiquer le cap.

Il appelle le peuple à la patience car, dit-il, il vient de commencer il y a à peine deux mois ! Raison pour laquelle des Congolais se posent aujourd’hui une seule question : qu’avons-nous fait ou pris au diable pour mériter un tel dirigeant ».

Zion-news. Info

Reçu en entretien exclusif par les journalistes de Top Congo FM et de Congo indépendant, le président Félix Tshisekedi, s’est exprimer sur plusieurs sujets d’intérêts publics pour la communauté congolaise.

En répondant à la question quant à son ouverture à l’opposition pour la gestion du pays, le président de la république a affirmé le vouloir. Pour lui, le problème se pose plutôt chez ses opposants qui posent un certain nombre de problèmes. Il a passé en revu ses opposants en citant, évidemment, le goulot que représente chacun d’entre eux.

Pour le chef de l’Etat Martin Fayulu n’acceptera jamais la demande de collaboration avec lui vu qu’il conteste toujours les résultats des élections de 2019, Moise Katumbi quant à lui reste ‘’borderline’’ malgré la pression des siens pour qu’il travaille aux institutions.Il a également parlé du président honoraire de la RDC, et selon lui, il est le chef du groupe rebelle opérant à l’est de la RDC sous le nom de L’AFC reconnu à Corneille Nanga.

‘’…Joseph Kabila n’en parlons pas, lui il a carrément boycotté les élections et prépare une insurrection parce que L’AFC, c’est lui’’.

A révélé le chef de l’état avant de louer les autres à l’image de Adolphe Muzito et Denis Mukwege, qui, selon lui, ‘’font parfois des commentaires objectifs, quand quelque chose va, ils applaudissent et sont contents’’.

A-t-il ajouté. Ces propos n’ont pas laissé indifférents les partisans proches des certains opposants cités par le président de la république. L’ancien directeur de Cabinet du président honoraire, Nehemiya Mwilanya s’est exprimé ce mercredi tendant à défendre l’autorité morale du PPRD ‘’la stratégie du bouc émissaire ne convainc plus. Des accusations sans preuve non plus.

Joseph Kabila Kabange a fait ses preuves et légué un pays viable. Aujourd’hui le Congo se meurt et son peuple est sans avenir : le vrai visage du pouvoir c’est la corruption, l’insécurité et la pauvreté.’’ Peut-on lire sur le compte twitter du Journaliste Daniel Michombero.

De son côté, l’homme d’état Patient SAYIBA TAMBWE parle lui d’un ‘’homme confus, diminué et sérieusement secoué par la maladie’’ à lui d’ajouter ‘’Dès lors, je conseille à tous ceux qui l’on suivi d’user d’un peu d’humanisme en s’abstenant de commenter les propos les propos d’un homme affaibli par la maladie.’’

A-t il ajouté avant de luis souhaiter une bonne guérison.Notons que le président de la république est arrivé ce mercredi à Kinshasa où il présidera un conseil des ministres restreint.

Jospin Chishugi

C’est la volonté ferme exprimée par tous les Sénateurs de l’UDPS et Mosaïque au bout d’une réunion spéciale sous la direction du Secrétaire Général et Président intérimaire de cette grande formation politique, l’honorable Augustin Augustin Kabuya, dans la nuit du lundi 05 à mardi 06 Août 2024, dans son bureau privé du Quartier GB à la Gombe.

33 ans durant, Idrissa Afani Mangala est demeuré très actif dans le parti UDPS, un critère qui a suffisamment pesé sur sa désignation face à son challenger immédiat, l’honorable Boketshu.

Membre de l’UDPS depuis 1991, Afani Idrissa Mangala a, tour à tour, exercé des fonctions importantes au sein du parti d’Étienne Tshisekedi. De Président cellulaire, Président de la Ligue des jeunes, il est passé de 2006 jusqu’à ce jour, de Secrétaire fédéral, vice-président fédéral au Président fédéral de l’UDPS/Tshisekedi Kindu.

Le dépôt de sa candidature intervient ce mardi, à 13h00′, au palais du peuple où une mobilisation tous azimuts des cadres et militants est annoncée.

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