Cette journée a été également dédiée au soutient des forces armées de la RDC et à la sensibilisation sur la résistance face à la guerre.
C’était au tour de 9H que les différents groupes de pressions et mouvement citoyens se sont rencontré au pont syno- hydro à FURU pour débuter avec la dite marche.
L’itinéraire est parti de ce lieu de la rencontre via le boulevard Joseph Kabila avant d’atteindre le camp militaire de Rughenda. Une fois au camp , les manifestants ont lu un mémorandum devant le commandant ville des FARDC.
FRANK MUKENZI leur porte parole, a suggéré que le cessez le- feu ne devrait pas constituer une option pour les militaires dans l’agression rwandaise dans la partie est de la RDC . C’est pourquoi il a encourager les forces loyalistes à combattre les éléments du m23 et les ADF auteurs des plusieurs exactions commis aux civils innocents.
<<Tout ordre venant de la hiérarchie militaire, consistant à faire les replis stratégique non justifier doit désormais être inacceptable car cela ouvre chemin à l’ennemi de continué sa conquête sur de nouveaux espaces à notre pays. Non aux trêves et cessez le feu.la patrie ou la mort>>.
Apres cette étape, les manifestants se sont rendus à la mairie de BUTEMBO pour la même circonstance. Dans leur mémo qu’ils ont remis à l’autorité urbaine , ils ont déplorés l’inefficacité de l’Etat de siège et ont demandé au gouvernement congolais de doter aux éléments loyalistes tous les éléments nécessaires pour une guerre.
<<nous exigeons la fin de l’État de siège>>
Le porte- parole des opérations militaires du front Nord MBUYI REAGAN a pour sa part remerciés les habitants de BUTEMBO pour le soutient démontré à travers cette marche populaire.
<< cette attitude partisane est à félicitée. Nous remercions la population de butembo pour ces soutiens manifeste aux forces armées. Nous promettons canalisé votre mémorandum à qui de droit>>.
A noter que la dite marche s’est bien déroulée sans aucun casse .
La date du 15 octobre 2024 marque exactement dix ans, depuis le début des tueries de civils par les ADF dans la région de Beni, en province du Nord-Kivu. En effet, les premières victimes avaient été abattues en octobre 2014 dans le village de Kokola, situé dans le secteur de Beni-Mbau, dans le territoire de Beni.
MAUA GRACE.