Jean-Marie Kassamba, président provincial de l’Union nationale de la presse du Congo (UNPC) pour la ville de Kinshasa, a récemment été au centre d’une décision qui a marqué la préparation du 10e congrès de cette importante organisation de journalistes en République démocratique du Congo (RDC).
Dans un communiqué officiel publié par le Comité préparatoire, il a été révélé que la candidature de Kassamba pour le poste de président national de l’UNPC a été rejetée.
Cette décision a été motivée par le fait que Kassamba n’a pas pu fournir la preuve requise de sa nationalité congolaise, un critère fondamental pour se présenter à cette élection. Ce défaut de conformité aux exigences administratives a entraîné l’invalidation de sa candidature, éliminant ainsi une figure de proue du paysage médiatique kinois de la course à la présidence nationale de l’UNPC.
Le rejet de la candidature de Jean-Marie Kassamba, personnalité influente dans les milieux de la presse, a créé une surprise dans les cercles journalistiques de Kinshasa et au-delà. Kassamba, connu pour son parcours dans les médias congolais et son rôle à la tête de l’UNPC au niveau provincial, semblait être un candidat sérieux et bien positionné pour prétendre à ce poste de premier plan. Cependant, le non-respect des exigences légales en matière de nationalité a mis fin à ses ambitions au niveau national, laissant le champ libre à d’autres candidats.
Dans le sillage de cette décision, trois candidats restent désormais en lice pour occuper le poste de Président national de l’Union nationale de la presse du Congo. Le premier est Kamanda Wa Kamanda Muzembe, figure bien connue du secteur des médias, avec une longue expérience dans le journalisme et une influence notable au sein de l’UNPC.
Musangana Muamba Moïse, autre prétendant au poste, apporte également un solide bagage professionnel dans le domaine de la presse, et son nom résonne avec force parmi les professionnels du secteur. Enfin, Shabani Bin Sueni, candidat lui aussi en course, est un autre acteur reconnu dans les milieux médiatiques, doté d’une carrière marquée par des initiatives visant à promouvoir l’éthique et l’indépendance journalistique.
Ces trois candidats devront désormais convaincre leurs pairs et les délégués du Congrès qu’ils sont les mieux qualifiés pour diriger l’UNPC à l’échelle nationale.
Serge IRENGE