Le centre médical russo-burundais va surveiller les agents pathogènes dans le pays, effectuer des tests épidémiologiques, des examens moléculaires sur place, a expliqué Joseph Nyandwi, directeur général de l’Institut national de santé publique du Burundi.
L’établissement formera également des spécialistes aux techniques de diagnostic.
Pour une approche plus poussée, le centre va inclure des vétérinaires, ce qui aidera à surveiller les maladies zoonotiques.
Il est prévu de d’accorder des bourses au personnel de l’Institut national de santé publique.
Grâce à la coopération russo-burundaise, le pays sera capable de faire des tests épidémiologiques, des examens moléculaires sur place.