L’extraction demeure un moteur essentiel avec une croissance de 18,2 % cette année, avant de ralentir à 2,9 % en 2026.En 2023, la RDC anticipe une croissance économique élevée, avec un PIB réel de 8,4 %. La valeur totale de tous les biens et services fabriqués dans un pays est mesurée par le PIB réel, après avoir été ajustée pour l’inflation. Dans les années à venir, cette croissance devrait ralentir, atteignant 4,8 % en 2024 et 5,1 % en 2026, selon le FMI. L’extraction, qui englobe l’extraction de ressources naturelles telles que les minerais, demeure un moteur essentiel, avec une augmentation de 18,2 % en 2023, mais elle devrait ralentir à 2,9 % en 2026. Le taux de croissance du PIB en dehors des industries extractives reste stable autour de 5 %.
L’extraction demeure un moteur essentiel avec une croissance de 18,2 % cette année, avant de ralentir à 2,9 % en 2026.Le déflateur du PIB (un indicateur qui évalue le niveau global des prix des biens et services inclus dans le PIB) estime l’inflation à 14,4 % en 2023 et prévoit une baisse à 6,7 % d’ici 2026. Les prévisions sont que l’indice des prix à la consommation (IPC), qui représente l’inflation ressentie par les consommateurs, passe de 19,9 % en 2023 à 7 % en 2026.
L’extraction demeure un moteur essentiel avec une croissance de 18,2 % cette année, avant de ralentir à 2,9 % en 2026.En matière monétaire, il est prévu que les avoirs extérieurs nets (la différence entre les actifs financiers détenus par un pays à l’étranger et ceux détenus par des étrangers dans le pays) augmentent de 20 % en 2023 à 9 % en 2026. La croissance du crédit intérieur, qui englobe les prêts bancaires à l’économie, devrait être modérée.
En ce qui concerne les finances publiques, il est prévu que les recettes et les dons représentent 14,8 % du PIB en 2023. La différence entre les recettes fiscales et les dépenses du gouvernement, connue sous le nom de solde budgétaire intérieur, demeure légèrement déficitaire à 1,3 %.
L’extraction demeure un moteur essentiel avec une croissance de 18,2 % cette année, avant de ralentir à 2,9 % en 2026.Il est prévu que les réserves officielles brutes (actifs en possession de la Banque centrale pour répondre aux obligations internationales du pays) demeurent constantes, couvrant environ 10 semaines d’importations.
Enfin, le Service de la dette prévoit que la dette extérieure publique, calculée à partir des paiements annuels du gouvernement pour rembourser la dette publique, soit en pourcentage des recettes publiques, atteigne 8 % d’ici 2026.
Cette prévision économique met en évidence les défis et les possibilités pour la RDC dans les prochaines années, soulignant l’importance de gérer les ressources naturelles et l’inflation afin de garantir une croissance durable et stable.