Dans l’affaire de tentative de coup d’État, c’est depuis le 10 octobre 2024 qu’a débuté le procès en appel dans cette affaire.
Les prévenus condamnés au premier degré et le défaut retenu à l’endroit des 13 prévenus acquittés. À l’audience du 18 octobre 2024, Jean-Jacques WONDO avait déposé un mémoire unique demandant sa liberté provisoire ou son transfèrement dans un centre spécialisé.
La Cour militaire de Kinshasa-Gombe a rejeté la demande de l’expert militaire belgo-congolais Jean-Jacques Wondo relative à sa mise en liberté provisoire et son transfèrement dans un centre de santé spécialisé pour y subir des soins appropriés. C’est à travers un arrêt rendu ce lundi 21 octobre 2024.
Dans sa décision, la Cour militaire s’est déclarée incompétente pour examiner la demande du prévenu Wondo à être transféré dans un centre de santé spécialisé. Elle a expliqué que cette demande relève de la compétence des personnels médicaux de la prison militaire de Ndolo.
La rédaction.