Dès le premier jour de la grève, de nombreuses régions du Nigeria ont commencé à ressentir la pénurie d’essence et de diesel, note le journal.
De nombreuses stations-service sont fermées et des files d’attente se forment devant celles qui fonctionnent encore.
Les conducteurs de camions-citernes cherchent à obtenir des baisses plus élevées sur les couts opérationnels. Avec l’annulation de l’ancien régime des subventions, les chauffeurs de camions-citernes ont perdu les paiements des frais de transport garantis par le gouvernement.