Le PDG de la Radio TOP CONGO FM, Christian Lusakueno, a pris la décision de porter plainte en justice contre les personnes qui ont publié des messages et des publications calomnieuses à son encontre sur Internet. Cette personnalité importante du domaine audiovisuel congolais a confié l’affaire au cabinet Ntetika et espère de ses avocats que la loi sera rigoureusement mise en œuvre.
« Parce que ceux qui savent ne peuvent pas éternellement se taire de peur d’être insultés et calomniés », a-t-il déclaré.
Après avoir déclaré qu’il ne pouvait pas être à la fois auditeur et consultant, Lusakueno a été l’objet d’attaques. Il souligne qu’il ne s’agit pas de l’action contre les journalistes, mais contre ceux qu’il décrit comme des « terroristes du clavier ».
« Je ne m’en prends pas à des journalistes. Je m’en prends à des terroristes du clavier. « Il est inacceptable que des personnes puissent vous calomnier pour avoir exprimé un avis », a-t-il déclaré. « Ils disent que j’ai pris de l’argent, qu’ils le démontrent. » « Ils disent que j’ai dit des choses fausses, qu’ils le démontrent. »
C’est dans le cadre de l’affaire que la Cour des Comptes a porté des accusations contre l’inspecteur général des finances, Jules Alingete, pour irrégularités dans une mission à la Gécamines. On a accusé les inspecteurs détachés pour une mission de vérification des finances publiques de se métamorphoser en consultants et d’être rémunérés à double titre.
Lusakueno, quant à lui, a exprimé sa frustration face aux accusations infondées et à la diffamation, mettant en évidence que ceux qui diffusent de telles calomnies doivent être pénalisés. D’autres iront dire des choses encore plus horribles demain. « Étant donné que nous ne réagissons pas, ils continueront à se présenter comme des individus intelligents et sages », a-t-il ajouté.
Lusakueno a également exprimé sa gratitude envers ceux qui ont apporté leur soutien à Top Congo dans cette affaire, mettant en évidence la distinction entre journalisme et communication, et dénonçant les idées anti-valeurs propagées par certains.