Environnement

L’opération agricole 2024-2025 sur toute l’étendue du territoire de la République démocratique du Congo a été lancée, jeudi 17 octobre 2024 , au nom du Chef de l’État, Félix Tshisekedi, par le vice-Premier ministre de l’Intérieur Jaquemain Shabani, à la Place de l’Échangeur à Limete, au centre de Kinshasa, capitale du pays, d’après la Présidence congolaise.

Selon le ministre d’État en charge de l’Agriculture Grégoire Mutshail, «cet événement a pour objectif la concrétisation du 4ème pilier du plan quinquennal du Chef de l’État concernant l’économie diversifiée en vue de la revanche du sol sur le sous-sol».

5 millions de graines, des engins agricoles, des produits phytosanitaires, des bâches de champs, des engrais, des imperméables, des boutures de manioc, des motocyclettes et bicyclettes ainsi que des semences optimisées ont été attribués aux différentes provinces de la RDC.

Pour réussir ce pari, le Gouvernement congolais a prévu la construction de routes de desserte agricole dans la deuxième phase de son vaste programme de développement à la base de 145 territoires.

La Rédaction

Un homme du nom de mbusa muhingi Boniface d’une cinquantaine d’années a perdu la vie dans un éboulement de terre survenus ce mardi 24 septembre 2024 à MABUKU au quartier VUPARA, c’est dans la Chefferie des BASHU en territoire de Beni.

cet incident s’est produit lorsque la victime faisait l’exploitation artisanale de l’or dans une foncée. KAKULE KAGHOMA JACQUES habitant de la place confirme le fait dans et pense que la non expertise des services Chargé de contrôle des mines et tout service ouvrant dans ce secteur d’être à la base de cet accident de travail.

Notre source appelle surtout les autorités du pays de prendre des nouvelles mesure visant a sécurisé les exploitants de ressources miniers car ils court plusieurs risques lors de l’exécution de leurs travailles.

<<homme du nom de Mbusa Muhingi Boniface âgé de 58 ans a perdu sa vie vers 15heures dans un éboulement de terre ce mardi 24 septembre 2024 à Mabuku au quartier Vupura, c’est en chefferie de Bashu, Territoire de Beni. Ce cas malheureux s’est produit lorsqu’il cherchait de l’or dans un trou creuser.>>

La victime de cette catastrophe naturelle laisse derrière lui plusieurs orphelins et une veuve qui restent inconsolable.

MAUA GRACE

Face à une grave crise alimentaire provoquée par la pire sécheresse en 40 ans, les autorités du Zimbabwe ont annoncé leur décision d’abattre 200 éléphants afin de distribuer leur viande aux communautés locales. La sécheresse, exacerbée par le phénomène climatique El Niño, a dévasté les cultures en Afrique australe, affectant 68 millions de personnes, dont une grande partie au Zimbabwe.

L’Autorité des parcs et de la faune du Zimbabwe (Zimparks) travaille sur les modalités de cette opération, qui ciblera les districts de Hwange, Mbire, Tsholotsho et Chiredzi. La viande d’éléphant sera distribuée aux populations les plus touchées par la pénurie alimentaire. Cette mesure s’inspire de la Namibie, qui a récemment abattu 83 éléphants pour les mêmes raisons.

La région d’Afrique australe abrite une population de plus de 200 000 éléphants, répartis entre le Zimbabwe, la Zambie, le Botswana, l’Angola et la Namibie, ce qui en fait l’un des plus grands foyers de ces animaux au monde. C’est la première fois que le Zimbabwe recourt à l’abattage d’éléphants depuis 1988.

Rédaction.

Au Fonds Forestier National (FFN), le torchon brûle entre les travailleurs et le Directeur Général Honoré MULUMBA KALALA qui aurait décidé de verser à ces travailleurs que 50% de la prime scolaire leur octroyé à chaque rentrée scolaire.

Pour le DG, il serait contraint de financer les missions de Mme BAZAIBA, Ministre de l’Environnement et de son cabinet, notamment la préparation de la COP 29, sources des difficultés financières du Fonds Forestier.

Les agents se demandent
S’il est légal et normal que ça soit les travailleurs qui financent les frais de mission de la Ministre de l’environnement et de son cabinet, sachant que le gouvernement mobilise des Fonds pour ses missions…

Le Fonds Forestier National a pour mission d’assurer le financement des opérations de reboisement, d’aménagement forestier et de toute opération de nature à contribuer à la reconstitution du capital forestier sur toute l’étendue de la République Démocratique du Congo.

Le 17 mars 1999 dans la déclaration, dite Yaoundé, les Chefs d’Etats de dix Etats membres de la Commission des Forêts d’Afrique Centrale (COMIFAC) avaient adopté le plan de convergence de la sous-région. Ce plan, à son 9ème axe stratégique, recommande le développement des mécanismes de financement, tant interne qu’externe à travers les Fonds Forestiers Nationaux.

Faisant suite à cette exigence, et afin de garantir une gestion durable des forêts, les autorités de la République Démocratique du Congo ont réalisé l’importance de mettre en place une structure dont la mission principale serait de réunir les moyens techniques et financiers nécessaires au financement de toute opération concourant à la reconstitution du capital forestier de la RDC.

Le FFN est représenté dans 16 provinces où il y a implanté des Antennes Provinciales : Kinshasa, Kongo Central, Kwilu, Kwango, Mai-Ndombe, Equateur, Haut-Katanga, Tanganyika, Lualaba, Tshopo, Ituri, Sud-Kivu, Nord-Kivu, Haut-Uélé, Sud et Nord Ubangi et Mongala.

Cicéron Alimeti.